Province d’Alicante, la belle surprise !

Partie sud de la région valencienne, la province d’Alicante est un véritable joyau délicieusement baigné d’influences orientales. Réputé pour son ensoleillement et ses températures clémentes tout au long de l’année, cet eldorado estival abrite, certes de magnifiques plages, mais regorge également de pittoresque, de culture et d’histoire qui tiennent bon, malgré l’urbanisation croissante. De singulières curiosités pour ceux qui apprécient un tourisme “intelligent”. (Par Sandrine Moirenc)

Gandia, fief de la famille Borja

Soleil, plages veloutées, mer émeraude, palmiers… au sud de Valencia, la petite ville de Gandia, bien qu’appartenant à la province valencienne, semble toute appropriée pour débuter cette immersion dans la rutilante douceur de la Costa Blanca. Gandia est l’exemple type de cité riche d’histoire, de charme et de culture qui se cache derrière une urbanisation toujours trop gourmande de soleil et de sable fin. Mais dans l’intimité de son centre, on peut encore y lire le prestige de son passé. Le Gandia du XVe siècle a profité de l’attention de la fameuse famille Borja qui refonda le Grand-Duché. Le Palais ducal des Borja, originairement château urbain de style gothique civil, s’est alors fortifié et enrichi de préciosité. Depuis la magistrale Cour des Armes, on emprunte l’escalier monumental pour atteindre les salons des Couronnes et la Galeria Dorada, magnifiques démonstrations baroques. Sur la place Majeure, la Collégiale Santa María de style gothique catalano-aragonais n’est pas en reste et mérite également le coup d’œil, tout comme la place des Ecoles Pies, ancienne Université de la Compagnie de Jésus. On note, en face du bâtiment, le statuaire qui met à l’honneur les plus célèbres membres de la famille Borja : les Papes Calixte III et Alexandre VI entre autres. Sur le port, la Criée est un autre rendez-vous à ne pas manquer.

Oliva, station balnéaire en vogue

À une poignée de kilomètres au sud, via la nationale, Oliva est également une station balnéaire en vogue avec ses 10 km de plage au sable blond donnant sur des eaux peu profondes côté mer, et sur des vergers d’orangers côté dunes. On n’hésite pourtant pas à aller se perdre dans son vieux centre encore architecturalement habité par deux influences : l’une chrétienne, l’autre mauresque. On visite l’église archipresbytérale, le couvent Rebollet, la Torre de Comare, les demeures seigneuriales de la calle Tamarit et les ruines du château de Santa Ana avant d’arpenter l’ancien quartier arabe.

Dénia, aux portes de la Province d’Alicante

Les portes de la Province d’Alicante s’ouvrent sur la cité de Dénia (Xabia en valencien). Là aussi, il faut infiltrer et traverser l’urbanisation moderne pour aller chercher le centre historique, véritable pépite : un village comme on les aime, de vieilles demeures au charme désuet dominées par les vestiges d’un château médiéval, un port zébré d’une forêt de voiliers jouxtant quelques barques de pêcheurs, des terrasses de restaurants où l’on déguste une cuisine typique locale faite maison. Dans le vieux centre, les rues piétonnes partent à l’assaut du château de Dénia et révèlent, ici et là, un mode et un choix de vie préservés, un sanctuaire imperméable à la frénésie du changement.

Vall de Laguar, la magie des terres intérieures

On s’accorde une pause avec le littoral pour prendre un peu de hauteur et explorer les terres intérieures jusqu’au Vall de Laguar. Une route en lacets permet bientôt de révéler un magnifique panorama sur la plaine agricole pointillée d’orangers et veillée par un cirque de montagnes. La lumière bienveillante d’un soleil couchant berce de douceur le paysage. Il fait plus frais sur les hauteurs colonisées par une marée verte. La rue principale du village de Vall de Laguar, bordée de quelques vieilles demeures aux accents musulmans, mène au centre de vie : une église, une boulangerie, un boucher et deux bars. L’occasion est belle de se fondre un peu dans la population locale au bar-restaurant où, sur la table, l’huile d’olive de pays et l’aïoli viennent parfumer les tartines de pain, en attendant la farandole de tapas qui se prépare en cuisine. Simple, authentique et bon, comme ce vin d’Alicante.

El Barranco del Infierno, la cathédrale de la randonnée

Le lendemain, la fraîcheur régénératrice du matin rend l’humeur propice à la découverte de la région. Le Vall de Laguar est connu pour offrir plusieurs sublimes balades dont la plus connue reste El Barranco del Infierno, autrement nommée la "cathédrale de la randonnée". Il faut compter environ 7h de marche. Ce canyon escarpé traversé par la rivière Girona est une merveille naturelle et géologique ! On ne tarde pas à emprunter le fameux passage à mule construit par les Arabes et composé de plus de 6 000 marches qui serpentent dans le canyon jusqu’au cours d’eau, avant de remonter en face et poursuivre cette superbe boucle d’environ 16 km. Les points de vue sur la vallée sont splendides, alternant rocaille sèche, terrasses et vergers. Le littoral nous rappelle sur la route jusqu’à Calp et son fameux piton rocheux : le Penon de Ifach. En chemin, se dévoilent d’impressionnantes terrasses sculptées toutes couvertes de vignes, d’oliviers et de vergers, un incroyable héritage légué par les Maures. L’air embaume la fleur d’oranger. Sur la côte, la route surligne un relief escarpé, voire quelques falaises. Même si le béton est abondant par ici également, le lieu dégage un charme indéniable : des bras rocheux s’avancent dans la mer, abritant des calanques, de grandes et splendides baies circulaires aussi lumineuses que la blancheur immaculée des villas perchées au-dessus d’elles. En fond, les montagnes arides et mordorées, signatures du sud de l’Espagne, ajoutent à la beauté du paysage.

Altea la méditerranéenne

La belle anse d’Altea, un peu plus en dessous, affiche les mêmes atouts que sa voisine. Par contre, le vieux centre perché figure parmi les plus singuliers de la côte. C’est un incontournable qu’il faut absolument explorer à pied. Son dédale de rues bien tranquilles menant au point culminant du village permet d’apprécier le pittoresque de la petite cité inscrite dans la Sierra Bernia. Quel contraste avec les grandes villas modernes du bord de mer principalement occupées par des étrangers en mal de vitamine D. Altea la méditerranéenne, toute de blanc vêtue et surmontée d’une église aux tons ocre et aux coupoles couvertes de tuiles blanches et bleues, se pose comme un havre de paix improbable. Sur la place principale, on apprécie la vue sur des kilomètres de côte, on s’abandonne à l’une des terrasses de café ou on pousse la porte de l’église Notre-Dame de Consuelo pour y découvrir un magnifique décor baroque ornementé de compositions florales dorées à l’or.

Benidorm, le petit Miami espagnol 

Au premier abord, lorsqu’on s’approche de Benidorm depuis la nationale, on peut avoir un sentiment de retenue face à la ligne de buildings qui barre l’horizon. Mais finalement, celle que l’on nomme la "petite Manhattan" ou encore le "petit Miami espagnol" est l’une des étapes les plus étonnantes sur le parcours. Lovée dans le Parc Naturel de la Sierra Helada, un superbe cirque minéral aux tons ocre, elle s’étire le long de ses interminables plages agréablement aménagées. Benidorm est connue pour son ambiance festive à toute heure du jour et de la nuit. À côté du parc et des plages, son autre atout est sans conteste le micro climat qui la protège des intempéries pratiquement toute l’année. Pour explorer le vieux centre de Benidorm, il faut tout d’abord s’accorder une halte culinaire dans la calle Santo Domingo ou rue des Basques. Par ici, une kyrielle de restaurants à tapas parmi lesquels certains ont même été récompensés en concours. Ils vous proposent de petits paradis gourmets et gourmands accompagnés de bière ou de sangria. On rejoint la place du Castillo pour profiter de l’ambiance et de la superbe vue depuis l’un des balcons de la Méditerranée, avant de longer la seconde plage de la cité : la plage Poniente réputée plus calme et intimiste que sa voisine la plage Levante.

À l’ascension du Parc Naturel de la Sierra Helada

Pour partir à l’ascension du Parc Naturel de la Sierra Helada, rien ne vaut le vélo électrique : un nouveau concept qui a la cote ! La balade commence depuis la plage Levante où bars, pubs et restaurants jouent à plein, les pieds dans le sable. En mer, le seul câble de ski nautique d’Europe ne désemplit pas. Le sable également, tout bigarré de parasols, n’est pas en reste. On apprend que la qualité de l’eau est exceptionnelle. La cité n’étant qu’à 2h20 de Madrid en TGV, elle a les faveurs des Madrilènes. L’humeur du jour c’est la gaîté générale. La ville semble vraiment se préoccuper du bien-être de ses estivants autant que de ses habitants. En remontant vers le parc à vélo, on découvre bien vite les criques sauvages aux eaux translucides de l’Almadraba et de Tioximo, véritables spots pour le snorkeling. Des points de vue imprenables s’ouvrent sur la ville et sa skyline, quatre rangées de buildings érigées de manière à ce que chacun ait vue sur la mer. Au fond, on aperçoit le Puig Campana, la plus haute montagne du bord de mer espagnol qui culmine à 1496 mètres d’altitude. L’ascension en vélo électrique dans le parc ne pose aucun problème. La route, toute cernée de terrasses, grimpe jusqu’à la Torre del Cavell, la falaise la plus haute d’Europe continentale, au pied de laquelle on peut observer les dunes de sable pétrifié les plus hautes du globe. Un bout du monde, Benidorm cache bien son jeu !

Castillo Santa Barbara, la plus grande forteresse médiévale d’Espagne

La première chose que l’on remarque à Alicante, c’est le Mont Benacantil qui domine la ville, couronné des vestiges du château Santa Barbara, plus grande forteresse médiévale d’Espagne. On y accède en voiture, à pied ou par l’ascenseur qui a été creusé dans la roche au niveau de la plage du Postiguet dans le centre-ville. Édifié sur d’anciennes fondations musulmanes datant du IXe siècle, le château arbore des restes du XIVe et des XVIe et XVIIe siècles et a été l’objet d’une rude discorde entre les Français et les Anglais suite aux règnes successifs et sans descendance des couronnes de Castille et d’Aragon. Seules la caserne, la forge et la citerne souterraine sont encore visibles à l’intérieur de la ceinture de remparts. Un maigre vestige atteste également de l’ermitage de Santa Barbara. On profite de magnifiques points de vue sur la ville et sur ses cinq plages. On devine d’ailleurs celle la plage de San Juan très prisée des autochtones. Au loin, Benidorm se dessine sous les brumes de chaleur. Un peu plus haut, au niveau de l’échauguette, le panorama révèle le port, la basilique de Santa Maria et la cocathédrale Saint-Nicolas de Bari, mais également le pittoresque quartier Santa Cruz de style andalou, que l’on peut rejoindre depuis le château en empruntant le chemin de ronde.

Alicante, la meilleure terre du monde

Dans la ville, la plus célèbre avenue est sans conteste le paseo de l’Explanada, toute couverte de plus de 6 600 000 mosaïques de marbre rouge, noir et blanc. Lumineuse et absolument élégante, elle s’étire sur plus de 500 mètres parallèlement au port de plaisance. Place de la Mairie, l’Hôtel de ville de style baroque civil est fier de sa devise : "la meilleure terre du monde" qui fait référence à son extraordinaire ensoleillement. Les Alicantos y rajoutent la qualité de son sable qui est d’ailleurs utilisé par les verriers de Murano. Vers l’est, la place Santa Maria accueille la basilique de Santa Maria qui arbore une magnifique façade baroque. C’est le temple le plus ancien de la ville. Assise sur les fondations d’une ancienne mosquée, elle a été construite sur un pan de fortification du XIVe siècle. À côté, les aficionados pourront visiter le MACA, Musée d’Art Contemporain d’Alicante lové dans un superbe bâtiment baroque, sur la façade duquel on remarque encore les impacts des boulets de canon de la flottille anglaise. En prenant la calle Mayor, on aboutit sur la place Santisima Faz, lieu de célébration de la relique rapportée du Vatican au XVe siècle : le linge avec lequel Véronique aurait essuyé le visage ensanglanté de Jésus. Un peu plus loin, place Abad Penalva, on remarque le bel immeuble moderniste avant de contempler l’architecture de la cocathédrale de San Nicolas, caractéristique de l’illusionnisme espagnol de la première moitié du XVIIIe siècle. Perpendiculaire, la calle Labradores, bardée de belles demeures, a été le point de refuge des nobles de la cité lors de la guerre civile. En débouchant sur la Rambla, on marque un arrêt sur la petite place d’Elche, l’une des plus vertes et des plus belles de la ville, avant de s’infiltrer dans la calle Sant Francisco dédiée aux restaurants. L’une des spécialités d’Alicante est sûrement la paëlla Marisco aux fruits de mer et au poisson. La halte est des plus agréables.

Dans les abris anti-aériens d’Alicante

Depuis l’avenue du Docteur Gadea, on emprunte la calle Italia pour se rendre au Centro de Interpretación sobre los Refugios Antiaéreos au niveau de l’ancienne station d’autobus, place Séneca. Ce lieu de mémoire raconte les conditions de survie des Alicantos durant la guerre civile et ses bombardements. La visite est vraiment passionnante ! Elle débute par une projection suivie de la visite de l’un des 96 refuges redécouvert il y a 5 ans et ouvert au public depuis peu : une galerie souterraine longue de 42 mètres desservant de minuscules cellules où s’entassaient les personnes. Les plus vieux ou les blessés avaient le droit de s’y allonger. Un autre minuscule recoin était consacré aux premiers soins. Sur les murs, on lit encore quelques graffitis : "Rester silencieux durant l’alarme", "L’espion écoute"… Et pour rendre l’expérience encore plus réaliste, les visiteurs plongés dans l’obscurité écoutent un enregistrement de bombardements. Place Docteur Balmis, on découvre une toute autre architecture de refuge dans ce quartier d’anciens nobles. De retour à la lumière, l’Expalanda n’étant qu’à deux pas, l’occasion est belle de faire un arrêt au petit Kiosque Peret connu pour confectionner les meilleures glaces et les meilleures horchatas d’Alicante, avant de s’abandonner sur la plage.

La palmeraie d’Elche, la plus vaste d’Europe

À quelques encablures au sud, à l’intérieur des terres, Elche se distingue vraiment du modèle des cités littorales tant elle a pu préserver la richesse de sa culture et de son histoire. La petite ville est unique en son genre avec sa palmeraie historique inscrite au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Ancienne cité mauresque, elle en a gardé la structure et l’ingéniosité : une oasis de vie avec, autour, des terres cultivées parcourues d’un système d’irrigation complexe et cernées par une vaste palmeraie, magnifique apparition dans ce paysage couvert de poussière mordorée. Celle-ci a pour fonction, en dehors de la récolte de dattes, de créer une zone ombragée qui maintient une certaine humidité en milieu aride. La palmeraie d’Elche est encore aujourd’hui la plus vaste d’Europe avec ses 300 000 palmiers. Quant à son système d’irrigation, alimenté par le rio Vinalopo, il est également toujours en fonction. On peut en parcourir la boucle longue d’environ 10 km, l’occasion d’explorer ses différents jardins qui abritent quelques espèces remarquables sur les 19 recensées. Le mieux est de partir du centre des congrès. En se dirigeant vers le sud-est on traverse d’abord l’Hort dels Pontos avant de remonter vers le nord en traversant les vergers successifs jusqu’à la Tour de Vaillo depuis laquelle il est possible de contempler la palmeraie. Le parcours redescend alors vers le sud en longeant plus ou moins la rivière. Au niveau de l’avenue del Alcade Vicente Quiles, on découvre cet ancien moulin à farine flanqué d’un bel ensemble d’arcades. On traverse alors le Parc Municipal, un magnifique verger de 6 hectares cher aux habitants. Un peu plus bas, on profite d’une belle vue sur la basilique Santa Maria et le palais d’Altamira depuis le pont du même nom. L’édifice religieux, dont la construction débuta en 1672, affiche l’une des plus belles façades du baroque valencien. Le lieu est connu pour accueillir et abriter la représentation du "Mystère d’Elche", un drame lyrique sacré inscrit au Patrimoine Oral et Immatériel de l’Humanité de l’Unesco.

Elche, manufactures de chaussures et plages sauvages

À l’intérieur du centre-ville d’Elche, les rues bardées de commerces regorgent de vie. On y déambule allègrement tout en profitant des boutiques. On se rend vite compte, qu’à côté du textile, les souliers et le terroir sont omniprésents. Elche est connu pour ses manufactures de chaussures. Une vieille tradition (on y confectionnait des espadrilles dans l’ancien temps) qui est devenue aujourd’hui la première manne financière de la cité. Tellement que celle-ci, d’abord indifférente au tourisme, n’a pas eu besoin d’exploiter son littoral (par rapport à ses voisines) qui est aujourd’hui préservé. En revenant sur le Palais des Congrès, on emprunte la calle Porta de la Morena qui mène au Huerto del Hura. Ce jardin artistique de 13 000 m2 est le plus célèbre de la ville avec ses allées donnant sur de somptueux bassins agrémentés de plantes aquatiques, des bosquets de cactus géants, ses orangers et ses grenadiers généreux. Un superbe décor dans lequel le palmier tient tout de même la vedette puisqu’on en compte environ 1 000 têtes. La grande star, celle qui a donné sa renommée au jardin, reste le palmier impérial. Ce curieux spécimen formant un candélabre à huit bras, des rejetons qui se sont épanouis au fil du temps, est âgé de 165 ans et pèse 10 tonnes. Il fut baptisé ainsi en l’honneur de l’impératrice Sissi qui avait été subjuguée lors de sa visite. Puis direction la marina pour découvrir les plages sauvages d’Elche classées réserve naturelle. Dunes de sable maintenues par un couvert de pinède, de palmiers et d’eucalyptus, longue bande de sable blanc, le lieu est absolument paradisiaque !

Les magnifiques plages de Pilar de la Horadada

En bout de province, Pilar de la Horadada clôt cette échappée belle. Elle sait accueillir ses visiteurs qu’elle gâte de magnifiques plages. Les principales : la playa de Mil Palmeras et la playa del Rio sont les plus adulées. Chaque matin, la ville y propose toute une batterie d’activités : kayak, yoga, rollers... il y en a pour tous les goûts. Rappelons qu’ici la température moyenne à l’année est de 18° ! De l’autre côté du Rio, on peut encore lire dans la roche l’emplacement des anciennes carrières romaines avant de rejoindre la plage del Conde surveillée par la belle Tour de la Horadada. Et pour ceux qui en ont marre du sable, le Parc Naturel de la Sierra de Escalona est une agréable alternative. Pour cela, on rejoint les hauteurs de Pinar de Campo Verde. Depuis le bureau du site naturel du Rio Seco, deux balades s’offrent au randonneur : l’une de 3.5 km permet de découvrir le lit de la rivière, sa flore et ses belles formations minérales, l’autre plus longue propose une plus grande diversité de paysages qui se prolonge jusqu’à l’embouchure du Rio.

Notre sélection de campings

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