L'arrière-pays varois, immersion dans un olympe de cépages

Rouge, rosé, blanc, côtes de Provence, Bandol, Cassis… on savait la Provence généreuse et chaleureuse, colorée et parfumée, mais voilà qu’elle surprend aussi par la qualité de production de ses divins breuvages. De l’intérieur du pays varois jusque sur le littoral, c’est une mer tranquille de nombreux cépages gardés par une sentinelle de domaines discrets qui se découvre, un olympe ponctué de charmants villages traditionnels baignant dans une nature voluptueuse. Suivez-nous dans cette escapade vinicole ! (Par Sandrine Moirenc)

Draguignan, capitale de la Provence Orientale

Lovée entre le Massif des Maures et les Gorges du Verdon, la cité de Draguignan, plus discrète que ses cousines côtières, tire son silencieux prestige de son héritage passé. Ville de pouvoir et d’ordre moral, des comtes de Provence à son rattachement au royaume de France, elle a toujours fait figure de capitale de la Provence Orientale, même si elle perdit son titre de préfecture du Var au profit de Toulon en 1974. C’est au cœur d’une vallée entourée de seize charmants villages que la ville de Draguignan se pénètre.

Visite guidée du centre de Draguignan

Des routes en lacets qui serpentent dans la pinède, on débouche sur une périphérie de quelques immeubles : le fameux quartier Chabran qui abrite bon nombre de militaires. Et puis l’on emprunte la longue voie qui mène au centre : d’abord l’avenue de la Grande-Armée qui se prolonge par le boulevard John-Kennedy, celui qui longe le seul cimetière américain du Sud-Est. Cet espace de verdure composé de jeux d’eau, d’essences végétales et de différents symboles vaut vraiment le coup d’œil. La balade se poursuit boulevard Jean-Jaurès et aboutit enfin devant l’imposant bâtiment de la sous-préfecture. Si Draguignan n’est plus la préfecture du Var, elle n’en garde pas moins son prestige. Belles façades d’hôtels particuliers, mairie, théâtre et palais de justice aux mélanges d’architecture néoclassique, néogothique et moderne, nous voici devant la ville version XIXe siècle. Bordant ces bâtiments, la ceinture de remparts, construite au XVIe siècle et dont il reste quelques vestiges, ouvre sur la cité royale : c’est ici que commence le jeu plaisant d’une lecture sensorielle du centre dracénois. Noms de rues, architecture des façades, détails de portes et de linteaux, on finit par avoir une petite idée du découpage de ce centre historique où vivaient les nobles et où s’exerçait l’industrie moyenâgeuse.

Dans les profondeurs de l’histoire

Après une halte au marché provençal niché au cœur de la ville, nous nous enfonçons encore dans les profondeurs de l’histoire via l’autre ceinture de remparts construite elle au XIIIe siècle et dont il reste les vestiges de deux portes. Nous pénétrons dans le bourg comtal. Un détail d’importance : les nombreux couvents et églises en périphérie de ce cœur. Il y avait, à cette époque, une telle concentration de pouvoirs étatiques que la religion se devait également d’être présente dans la ville. Au quartier de l’Observance, la présence des anciens couvents, tribunal, palais de justice et prison avait valu à la place le surnom de "défilé des robes viriles". Ici aussi les détails d’architecture anoblissent le site. Et puis il y a la rue des Moulins abritant encore deux moulins à huile, la rue des Ouillères, des Tanneurs, de la Blancherie… Tout le sens de cette lecture se dévoile sur le sommet de la fameuse butte : Draguignan s’est édifiée depuis ce rocher accueillant la tour de l’Horloge et cette petite chapelle, la plus vieille intra-muros. Et il y a le théâtre de verdure aussi qui accueille des spectacles nocturnes durant l’été. De ce rocher, exploité au Moyen-Âge pour élever les remparts, la ville s’est construite d’abord en colimaçon, avec l’installation d’industries suivant le canal d’eau qui traverse toujours la cité. Le bourg royal s’est ensuite greffé autour, avec une configuration de rues en étoiles se distribuant jusqu’au quartier du XIXe siècle et la périphérie d’aujourd’hui.

Draguignan la militaire

Passés et actuels, le pouvoir et l’ordre moral ont toujours fait bonne figure dans cette ville discrète à cheval sur les traditions. Savez-vous par exemple que Draguignan est la première ville de garnison de l’Armée de Terre de France ? À travers ses trois musées, la cité nous livre ses derniers secrets. C’est dans le quartier Bonaparte, en poursuivant le quartier Chabran, qu’ont pris place en 1976 l’école d’artillerie et sa garnison. Pour la petite histoire, les militaires de Draguignan occupent 12000 hectares sur les 35000 qui délimitent la ville, ce qui n’est pas rien ! Sur la place d’Armes, dans le complexe du Bâtiment de Commandement, les grilles s’ouvrent sur le Musée de l’Artillerie. Rébarbatif pour qui s’intéresse peu à l’Histoire et aux guerres ? Un petit effort ! Le site est un incontournable pour découvrir Draguignan. Passé l’impressionnante exposition extérieure des canons de différents types et époques, on pénètre ensuite dans une immense salle à deux étages composée de vitrines et de tentes reconstituant des scènes d’histoire appartenant à la moitié du XIXe siècle. Il y a une collection rare de petits modèles d’artillerie du XVIIIe siècle, des tableaux d’art à la thématique militaire, etc. Des curiosités qui s’avèrent finalement passionnantes et intrigantes : en y regardant de plus près, on s’aperçoit qu’au-delà d’une simple collection, le musée raconte aussi l’histoire d’une société et de la vie locale.

Arts et traditions populaires de Draguignan

Un peu plus loin, dans la ville royale, nous retrouvons les deux autres musées. Tout d’abord le Musée Municipal d'Art et d’Histoire facilement accessible depuis la place du Marché par la rue de la République. Dans ce magnifique monument, ancien couvent des Ursulines réhabilité depuis en bibliothèque, en dépôt du Louvre et en salle d’expositions, on se délecte en contemplant ces rares trésors : un lutrin qui servit à la consécration de Charles VII à Reims, une esquisse signée Renoir, "L’Enfant à la bulle de savon" de Rembrandt, un très beau Panini représentant l’intérieur de Saint-Pierre-de-Rome, une sculpture de Camille Claudel… Une incroyable collection de peintures et de sculptures mais aussi de vestiges archéologiques locaux. Enfin c’est par la rue Joseph Roumanille que l’on rencontre le fabuleux Musée des Arts et Traditions populaires de Draguignan, dans une belle demeure toute restaurée. Incursion dans les vieilles grandes caves voûtées présentant la thématique du vin, et puis c’est toute la richesse éco-industrielle d’une région de plaines, à cheval entre les montagnes et la mer, que l’on voit défiler : l’agriculture du siècle passé, un vieux moulin à huile reconstitué, une fabrique de tuiles, de vieux métiers. À l’étage, les costumes et les fêtes populaires, les traditions et les scènes de vie d’autrefois transmettent au visiteur leur essence, leur raison d’être et de perdurer : le site est enchanteur !

Les Arcs-sur-Argens à l’heure médiévale

Depuis la cité de Draguignan, les routes s’enfoncent dans un horizon de garrigue et de maquis, d’oliviers et de vignes, accueillant ici et là des îlots de magnifiques villages disséminés derrière le contrefort du Massif des Maures. La D555, qui rejoint la N7 pour une incursion dans la montagne de silice, mène d’abord au village des Arcs-sur-Argens dressé à flanc de colline. Une dizaine de kilomètres pour commencer déjà à converser avec l’esprit du vin au regard des domaines imposant l’étendue de leurs cépages, aux fruits de velours, jusqu’au pied du village. C’est par la porte de la tour de l’horloge que l’on découvre la petite cité, sans conteste un trésor de l’architecture médiévale ! Entrelacs de ruelles et de placettes, ici la pierre sèche taillée est reine, se mouvant tantôt en arcades, en façades, en fontaines, en rues pavées, en tours, en puits… jusqu’au quartier du Parage. La tour de l’horloge et le superbe campanile, sentinelle de fer forgé abritant le timbre du village, datent de 1662. Un peu plus loin, la chapelle Saint-Pierre de style roman a été reconvertie en lieu d’expositions. On admire la sobriété du lieu. Arrivé devant l’église de Saint-Jean-Baptiste, il faudra absolument pousser la porte d’entrée pour y découvrir deux petites merveilles : un polyptyque de Louis Bréa datant de 1501 et une superbe crèche provençale animée.

Vidauban, les pieds dans l’Argens

Redescendons dans la plaine maintenant, direction Vidauban par la N7. On découvre un village de plaine au pied de la rivière Argens et des Maures. Ici aussi, de nombreux domaines et châteaux vous attendent pour une visite-dégustation. Dans le centre du village, quelques vestiges du XVIe siècle dont un vieux four à pain, mais aussi des placettes aux terrasses de café accueillantes, des gargouillis de fontaines et un marché haut en couleurs le dimanche. Mais le bourg viticole propose également bien d’autres réjouissances à ses visiteurs : notre choix se porte sur une balade aquatique à bord d’un canoë. Le paysage se découvre au rythme de la pagaie dans la sérénité d’un vol de martin-pêcheur, d’une rencontre inopinée avec une tortue cistude et d’une vive échappée de quelques poules d’eau.

Dans le décor féerique du Massif des Maures

En poursuivant la N7, c’est par le joli village de Gonfaron que nous choisissons comme porte d’entrée dans le Massif des Maures en empruntant la D39 qui mène à Collobrières. La route étroite se présente en lacets dans un décor absolument féerique : alternance de forêts et de vallons qui exhibent une végétation très riche et quelquefois très dense. Ici, à en juger par l’humidité ambiante dans les sous-bois, on ne manque pas d’eau. À mesure que nous progressons dans le massif, la symphonie d’une nature vibrante, en éveil, s’offre à nous tantôt en pinèdes, tantôt en magnifiques chênes-lièges dont certains ont encore leur tronc à nu.

Du sommet des Maures à la Côte varoise

Et puis nous arrivons à la Sauvette à 779 mètres d’altitude, le point culminant des Maures. Enchaînement de crêtes et de vallons, de temps en temps le paysage s’ouvre sur des panoramas époustouflants pour replonger très vite dans la volupté végétale. Bientôt ce sont les incroyables châtaigneraies que nous saluons sur notre passage : extravagance de tons mordorés, flamboyants, méli-mélo de feuilles et de fruits décorant les arbres ou jonchant le sol. La nature donne vraiment ce qu’elle a de plus beau ! Collobrières s’annonce finalement comme un bout du monde, une étape très appréciable agrémentée par ses rues caladées, ses vestiges d’église et de vieux village. La balade se poursuit jusqu’à Pierrefeu-du-Var, un petit détour bien agréable avant de continuer le col de Babaou jusqu’à la Côte Varoise.

Bormes-les-Mimosas, jardin méditerranéen

Le périple continue comme une navigation tranquille dans une mer de vignes encerclant des îlots de pinède jusqu’au charmant village de Bormes-les-Mimosas. L’étape est très agréable et assez insolite : le vieux village se découvre comme un sentier botanique, méditerranéen et quelquefois exotique, dans un décor de pierre sèche. On en vient à se demander qui, de la végétation ou des habitations, a pris le dessus. Aucun, ici tout n’est qu’harmonie ! Mais continuons en empruntant les routes secondaires traversant le hameau de La Manne à travers de vastes domaines vinicoles.

Étape de rêve sur la plage de l’Estagnol

Bientôt l’horizon se dégage pour déboucher sur la corniche des Maures en direction du fort de Brégançon. Un coin de côte encore très sauvage et intime. Voici un autre bout du monde entrecoupé de plages et de côte escarpée, accueillant ici et là de petits cabanons pour bateaux prolongés de cales à même le sol. Derrière, la superbe plage de l’Estagnol, protégée de l’intérieur par une magnifique pinède, s’étale délicatement en sable blond pour souligner le rivage entre le sentier des douaniers et une eau à la transparence quasi indécente. Un site incroyable ! Et juste derrière la dune de sable, le restaurant "L’Estagnol" sert ses clients dans un décor de terrasses ouvertes et couvertes tantôt par des canisses, tantôt par des touffes de chênes. La spécialité : cuisine au feu de bois. On apprécie bien sûr la bouillabaisse et les pâtes aux langoustes à la lueur des loupiotes multicolores qui surlignent une scène déjà bien généreuse, un moment divin !

L’AOC Côtes de Provence

Une fameuse appellation avec un vaste territoire : l’AOC Côtes de Provence s’étend du Luc jusqu’à l’Esterel et sur la côte de Hyères à Fréjus en passant par Saint-Tropez. Cela donne des vins très différents vu la diversité des sols, du relief et des climats que l’on rencontre sur ces coteaux. Le rosé représente 75% de la récolte, le rouge atteint 20% et le blanc, plus rare, ne fait que 5% mais n’en est pas moins bon ! Pour en savoir plus, rendez-vous à la Maison des vins Côtes de Provence aux Arcs-sur-Argens. Cette superbe bâtisse plantée dans un décor de pinède et de vignes présente tous les vins de cette appellation. Un voyage au pays des arômes et des senteurs avec dégustation à la clé. La maison comprend également un restaurant de gastronomie provençale qui accompagne ses plats de magiques breuvages. Pour les passionnés, des stages d’œnologie et des visites du vignoble sont organisés. Ici, il n’y a vraiment que du plaisir pour fin gourmet !

Sur la route des domaines

Sainte-Roseline : un patrimoine exceptionnel

Juste avant Les Arcs-sur-Argens, le domaine Sainte-Roseline s’ouvre sur un vaste champ de vignes et d’oliviers. Le site est grandiose par sa taille et son aspect. À l’origine, cette ancienne abbaye du XIIe siècle accueillit la mère prieure Roseline, fille du seigneur des Arcs. Le personnage très généreux a profondément marqué son époque. On lui attribuait même des miracles. Sur le domaine, on peut visiter la petite chapelle qui abrite sa momie ainsi que de superbes œuvres la célébrant, des donations notamment de Chagall, Giacometti, Bazaine et Ubac. Quant au cloître et à la vigne centenaire qui le décore, ils se montrent au public fin mai lors du salon des antiquaires organisé sur le domaine. Rejoignez vite le magnifique caveau pour une dégustation. Château Sainte-Roseline : 83460 Les Arcs-sur-Argens. Tél. 0494995030. www.sainte-roseline.com.

Matheron : place aux jeunes

Depuis la grande bastide datée du XVIIIe siècle perchée sur les hauteurs de Vidauban, Paul et Delphine Bernard contemplent avec fierté leur domaine : un vignoble de 35 hectares classé en AOC Côtes de Provence. C’est en 2003 que ce petit-fils de vignerons reprend le domaine à la mort de sa grand-mère. Le défi est courageux : le métier est difficile et beaucoup de domaines sont rachetés aujourd’hui par de grands groupes industriels quelquefois même internationaux. "Travailler avec la nature, ses saisons, c’est un investissement de huit mois sans jamais savoir quel va être le résultat. Pour cela il faut de l’amour et de la passion" confie Paul. Le caveau propose une dégustation de ces bons vins de tous les jours. Château Matheron : 400, chemin de Matheron 83550 Vidauban. Tél. 0494730164. www.chateau-matheron.com.

L’Aumerade : un conte de fée

C’est grâce à son grand-père, un genre de visionnaire avisé dans le domaine du vin, que Marie-Christine, la propriétaire du domaine, vit aujourd’hui un conte de fée. Racheté en 1930, le Château de l’Aumerade a su s’adapter au marché et innover pour préserver la renommée de ses vins. Le domaine c’est une grande maison familiale agrémentée d’un joli jardin, ainsi que d’une quinzaine de platanes quatre fois centenaires, un cadeau royal de Henry IV : celui-ci appréciait déjà le breuvage de l’Aumerade. Dans les caves, les baies fraîchement pressées embaument et certains jus commencent déjà à fermenter. Il faut absolument visiter dans le caveau le musée du Santon regroupant une éblouissante collection de personnages illustrant des crèches de différents pays, époques et matières. Château de l'Aumérade : route de Puget-Ville 83390 Pierrefeu-du-Var. Tél. 0494282031. www.domaine-chateaux-fabre.com.

Le domaine de la Malherbe : raffinement exquis

Cette splendide bâtisse du XVIIe siècle était l’ancienne ferme agricole du fort de Brégançon qui alimentait les garnisons. Aujourd’hui elle veille sur une vingtaine d’hectares pour produire un vin de très grande qualité. Le site est une invitation initiatique à la découverte de la tradition vinicole et de la Provence. Que de symboles : fontaine, figuier, saule pleureur, oliviers, amandiers, cyprès, tout cela soigneusement disposé autour d’une mer de vignes inondée de lumière. Ici le vin est or, transformé par l’alchimie du raisin. Une musique classique s’échappe du domaine pour venir vous chercher, vous enlever un instant à la contemplation extérieure. À l’intérieur de la demeure : mobilier et patines d’époques dans un style simple et épuré, un raffinement exquis entre ambiance chaleureuse et sobriété. Une grande classe pour un fabricant de vin ! Dans le caveau on découvre un véritable musée vinicole avec son sabot à cachets, son sceau et sa cire, de vieux outils, des hottes de vendange. Il y a aussi la planche à pain et sa miche qui attendent la dégustation motivée par les senteurs de vin nouveau qui commence à travailler. Château Malherbe : route du Bout du Monde 83230 Bormes-les-Mimosas. Tél. 0494648011. www.chateau-malherbe.com.

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